đ± Becs sucrĂ©s, danger pour votre santĂ© de femme
La goodletter des femmes qui veulent mieux comprendre leur corps et son fonctionnement.
Bonjour Mesdames,
Qui a attaquĂ© les cases du calendrier de lâAvent au chocolat blanc ou acheter un tiâ ballotin en attendant les fĂȘtes pour se mettre dans lâambiance ? đââïž
Ok cette goodletter est pour VOUS.
Au programme de cette semaine
đŻ La news : lâacupuncture rĂ©duirait les douleurs dâendomĂ©triose
đ The dossier : Les effets du sucre sur nos troubles fĂ©minins
đ Le Podcast DLN : les plantes de la mĂ©nopause, spĂ©cial VIP
đ±Lâinspi : Sucrer notre vie
Si les nuages étaient de la barbe à papa, certaines plongeraient dedans. Allons voir si ce plongeon serait si bon que ça.
Avant de commencer la lecture, partagez cette goodletter Ă une copâs addict au sucre. đđđœ You can do it ;)
đŻ News de la semaine
Une mĂ©ta analyse publiĂ©e dans sciencedirect.com dĂ©montre que sur les 331 participantes de 6 Ă©tudes diffĂ©rentes, les douleurs pelviennes liĂ©es Ă de lâendomĂ©triose seraient vraiment rĂ©duites grĂące Ă lâacupuncture.
Ceci associĂ© Ă de faibles taux dâeffets indĂ©sirables.
Lâacupuncture serait donc Ă tester si vous ne rĂ©pondez pas bien aux traitements ou Ă dâautres types dâintervention.
đ The dossier : Les effets du sucre sur nos troubles fĂ©minins
Comme il y a le bon et le mauvais pĂȘcheur, il y a le bon et le mauvais sucre.
Grosso modo on a besoin de sucre et du sucre il y en a quasiment partout.
Si on était plus précise on parlerait de glucides, ce macronutriment essentiel à notre santé et donc à la vie.
Pas de glucide, pas dâĂ©nergie. Pas dâĂ©nergie, pas de vie.
Il nâest donc pas question dâarrĂȘter les glucides.
En revanche, arrĂȘter le sucre. Oui âŠ
Je vous ai perdue, trÚs bien. Allons faire un peu de lumiÚre sur tout ça !
đ Le chiffre de la semaine
Ce sont les hommes qui consomment le plus de sucre par jour avec une moyenne de 101g (lâalcool et notamment la biĂšre y est pour beaucoup).
Nous ne sommes pas trĂšs loin avec nos 94 gr en moyenne.
En revanche, ce qui nous plombe câest quand on rapporte cette consommation Ă notre apport Ă©nergĂ©tique global.
Les sucres représenteraient 20% de nos apports.
LâOMS prĂ©conise un apport de maximum 10% pour assurer un bon Ă©tat de santĂ©.
Vous allez découvrir pourquoi et comment limiter les nougats, buches et autres mendiants et garder de bons réflexes pour 2024.
đšđ° đŹ đ« đ©Le sucre et notre santĂ© au fĂ©minin
On sait que manger trop de sucre, câest pas vraiment gĂ©nialâŠ
Le comble ? Je choisis ce sujet quand on rentre dans une des pĂ©riodes les plus sucrĂ©es de lâannĂ©e.
Câest fait exprĂšs.
AprĂšs cette lecture jâespĂšre que vous en mangerez en conscience et avec un peu plus de pondĂ©ration pour la santĂ© de votre petit corps adorĂ©.
Quelques notions de base Ă avoir en tĂȘte :
le glucose est le macronutriment carburant de nos cellules et notamment de nos cellules cĂ©rĂ©brales. Sans glucose on a le cerveau qui tourne au ralenti. DâoĂč cette extrĂȘme fatigue par exemple dans le cas dâune crise dâhypoglycĂ©mie. Il est donc hors de question dâarrĂȘter de consommer des glucides (ou hydrates de carbone) sauf mention de votre mĂ©decin.
les glucides font monter le taux dâinsuline dans le sang. Lâobjectif de cette hormone est de faire rentrer le glucose dans les cellules pour leur apporter lâĂ©nergie nĂ©cessaire pour faire tourner la machine. Plus le sucre est dit ârapideâ plus le pic dâinsuline est rapide aprĂšs ingestion, câest les montagnes russes. Plus un sucre est dit lent (en fait câest quâil est plus complexe Ă digĂ©rer) alors le taux dâinsuline se rĂ©gule plus facilement, câest plus harmonieux et moins violent Ă traiter pour le corps, si je schĂ©matise.
dans cette goodletter, je pointe donc surtout les sucres rapides et surtout raffinĂ©s qui sont les sources principales de nombreux maux. Ceux que lâon trouve dans les gĂąteaux, bonbons, glace, boissons, desserts etc.
Ne vous privez pas de glucides sous prĂ©texte que vous avez lu cette goodletter. Les fĂ©culents, lĂ©gumineuses et autres fruits sont importants pour lâĂ©quilibre nutritionnel global.
Sachez pondérer et éviter ce qui est vraiment mauvais et inutile.
đ„±Le sucre et le SPM
Vous ĂȘtes sujette au syndrome prĂ©menstruel (voir DLN#3 pour plus dâinfos), vous connaissez alors peut ĂȘtre bien le sujet des pulsions sucrĂ©es.
Parfois on est tellement Ă cĂŽtĂ© de nos pompes quâon ne les corrĂšle pas avec lâarrivĂ©e imminente des rĂšgles, surtout pour celles qui ne suivent pas leurs cycles.
Ces pulsions seraient indirectement liĂ©es aux fluctuations de nos hormones sexuelles. En cause surtout la synthĂšse cĂ©rĂ©brale de la sĂ©rotonine, neurotransmetteur qui rĂ©gule les humeurs. Elle est mise Ă mal avec la chute des ĆstrogĂšnes en 2Ăšme phase du cycle.
Le sucre faciliterait lâentrĂ©e dans le cerveau du tryptophane, cet acide aminĂ© essentiel, qui participe Ă la synthĂšse de la sĂ©rotonine.
Le tryptophane, prĂ©curseur de la sĂ©rotonine, est en compĂ©tition avec dâautres acides aminĂ©s (leucine, isoleucine, valine) pour traverser la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalique. Or ces derniers diminuent davantage que le tryptophane sous lâeffet de lâinsuline, facilitant lâentrĂ©e du tryptophane dans le cerveau et la synthĂšse de sĂ©rotonine, abaissĂ©e lors de la chute prĂ©menstruelle des ĆstrogĂšnes. (source revue mĂ©dicale suisse)
DâoĂč, le besoin de sucre pour ne pas ĂȘtre complĂ©tement dĂ©pressive.
Pour autant, des solutions plus saines sont Ă envisager :
manger des produits riches en tryptophane
prendre du magnésium
se complĂ©menter en griffonia avec avis dâun naturopathe ou phytothĂ©rapeute
đ”âđ« Le sucre et la mĂ©nopause
Il empĂȘche la rĂ©gulation du poids
La prise de poids est souvent crainte lors de la préménopause.
En effet, une femme ménopausée a globalement besoin de moins calories à activité constante.
Ainsi la prise de poids est facilitée si le régime alimentaire reste inchangé.
Une Ă©tude sur prĂšs de 90 000 AmĂ©ricaines rĂ©vĂšle quâune alimentation rĂ©duite en glucides (variations de 39 Ă 62 % de lâapport Ă©nergĂ©tique total), modĂ©rĂ©e en lipides et riche en protĂ©ines suivie pendant 1 an serait plus efficace sur la gestion du poids Ă la mĂ©nopause quâune alimentation pauvre en lipides. (source cerin.org)
Ceci implique donc que la baisse de calories globale nâest pas si efficace si on ne sait pas quel nutriment modĂ©rer le plus.
Il augmente les risques de dépression
Ce constat est issu dâune Ă©tude sur prĂšs de 88000 femmes mĂ©nopausĂ©es.
LâĂ©tude rĂ©vĂšle que cette consommation nâĂ©tait pas forcĂ©ment consciente. Les apports mis en cause sont surtout les plats industriels tout prĂ©parĂ©s.
De quoi se motiver pour le fait maison.
Il favorise lâapparition dâun diabĂšte de type 2
Enfin on a vu la semaine derniÚre que la ménopause entrainait une légÚre insulinorésistance. (lien vers DLN#42).
Le sucre est donc plus prĂ©sent dans le sang puisquâil nâarrive pas Ă bien pĂ©nĂ©trer les cellules.
Ce qui par la force des choses accroit le taux de glycémie dans le sang et donc augmente les risques de diabÚte.
đ„ Le sucre et lâendomĂ©triose
LâendomĂ©triose est une maladie inflammatoire. Le sucre est un aliment pro-inflammatoire.
Je pense quâen deux phrases vous avez compris lâessence de la dĂ©monstration.
Maintenir un niveau dâinflammation Ă©levĂ© dans le corps est Ă©puisant pour votre mĂ©tabolisme, douloureux et finit par ĂȘtre le lit dâautres pathologies.
Essayez de limiter au maximum le sucre au moins dans les premiÚres semaines (mois) si vous souhaitez soulager les symptÎmes de votre endométriose (ou adénomyose).
En fonction de vos ressentis vous pourrez réintroduire certains aliments au fur et à mesure.
Et peut ĂȘtre que vous serez tellement mieux sans vos pĂ©pitos qui vous tournaient le bide, que vous nâen aurez plus envie.
â Le sucre et le SOPK
Lâun des principaux symptĂŽmes du SOPK est la rĂ©sistance Ă lâinsuline.
On a déjà abordé le sujet plus haut.
Dans le cadre dâun SOPK, essayer un rĂ©gime alimentaire Ă IG bas est une piste intĂ©ressante Ă creuser.
Il y a des aliments dont lâindice glycĂ©mique (IG) est plus ou moins haut. Câest Ă dire quâils font augmenter plus ou moins rapidement le taux de glycĂ©mie dans le sang.
Si votre insuline nâarrive pas Ă supporter un taux de glycĂ©mie Ă©levĂ© autant ne pas lui mettre du caramel Ă gĂ©rer.
Vous mangerez certes diffĂ©remment mais avec beaucoup de gourmandise, mĂȘme en mangeant IG bas.
đ€°đż Le sucre et la grossesse
Câest surement le moment oĂč lâon est le mieux accompagnĂ©e dans la gestion de notre sucre.
Le diabÚte gestationnel est dangereux pour la future maman et le bébé.
Ainsi le test de la bouteille de glucose Ă jeun au 6Ăš mois est un incontournable.
Seulement, il arrive parfois un peu tard. Et cela peut ĂȘtre stressant, en plus de tout le reste, de se dire quâon est en train de faire âun gros bĂ©bĂ©â.
Dâautre part, une Ă©tude a dĂ©montrĂ© que la consommation de sucres pendant la grossesse rĂ©duit les facultĂ©s cognitives de lâenfant.
Plus une mĂšre consomme de sucres pendant sa grossesse, notamment sous forme de boissons sucrĂ©es et de sodas, plus son enfant obtient de mauvais scores aux tests cognitifs Ă lâĂąge de 7 ans, avec en moyenne une diminution de 1,5 point de QI pour 15 grammes de sucres journaliers. Autrement dit, une femme enceinte qui consommerait chaque jour un soda et une barre chocolatĂ©e ferait perdre jusquâĂ 6 points de QI Ă son futur enfant (source cerveauetpsycho.fr)
Que ce soit des sucres ou leurs concurrents les Ă©dulcorants, tous sont placĂ©s Ă la mĂȘme enseigne. Ils sont dĂ©lĂ©tĂšres pendant la grossesse.
Mes conseils :
des fruits et un carré de chocolat à 70% par jour seront suffisants pour éviter les frustrations et fabriquer un beau bébé.
On Ă©vite les rayons biscuits et bonbons pendant 9 mois.
Et mĂ©fiez vous des sucres cachĂ©s dans les pains Ă burgers, le pain de mie, les sauces, et autres produits indusâ.
đŠ Le sucre et le cancer du sein
En 2020, une étude, basée sur une cohorte de 79742 femmes de plus de 18 ans, identifie un lien réel entre une consommation accrue de sucre et le risque de cancer du sein, notamment dans les cancers préménopause.
Concernant les sources alimentaires, les sucres simples des boissons, des produits laitiers, et des desserts lactés sucrés étaient plus particuliÚrement associés au risque de cancer du sein. (source sciencedirect.com)
Bien sûr ne diabolisons pas.
La communauté scientifique est divisée sur les régimes sans sucres ajoutés pendant un traitement.
En fait, le sucre ne serait pas vraiment le carburant dâun cancer mais câest plutĂŽt lâimpact quâil a dans notre corps et les rĂ©actions quâil implique qui favoriseraient le dĂ©veloppement dâune tumeur.
Avoir une alimentation riche en sucres simples induit une production dâinsuline importante, lâhormone rĂ©gulatrice de la glycĂ©mie. Or lâinsuline est un agent qui est dit « mitogĂšne », câest-Ă -dire quâil peut favoriser la prolifĂ©ration des cellules tumorales.(source INRAE)
Les Ă©tudes manquent encore. Demandez conseil Ă votre oncologue si vous ĂȘtes en traitement.
đQuelques stratĂ©gies naturo pour rĂ©sister
Une fois quâon a fait le tableau de lâhorreur, vous vous demandez maintenant ce que vous allez servir en dessert le soir du 24 ou du 31.
Je fais de vous des consommatrices Ă©clairĂ©es et votre santĂ© ne sâen portera que mieux, câest sĂ»r.
đ€ Savoir de quoi on parle
Sachez donc bien lire les Ă©tiquettes pour faire la distinction entre glucides et sucre. GĂ©nĂ©ralement les ingrĂ©dients finissant en â-oseâ sont souvent des sucres : glucose, saccharose, fructose, dextrose, galactose, maltose etc.
Autre astuce, sâil apparait dans les premiers ingrĂ©dients de la liste sur les Ă©tiquettes, câest quâil est trĂšs (trop) prĂ©sent dans le produit.
Aussi connaitre les diffĂ©rents types de sucres qui sont dans vos produits : sucre, agave, sirop de maĂŻs, sucre de canne, sirop de canne, sirop de caroube, purĂ©e de fruits, sirop de glucose, miel, sucre de dattes, sucre glace, sirop dâĂ©rable, mĂ©lasse etc.
Petit zoom sur les fruits. Ils sont riches en fructose qui serait plus délétÚre pour le foie que le saccharose.
Contrairement Ă lâexcĂšs de saccharose qui se transforme en graisse, le fructose doit ĂȘtre gĂ©rĂ© par le foie. Et quand il est en excĂšs, ça peut crĂ©er des pathologies du foie notamment la stĂ©atose hĂ©patique non alcoolique.
âCâest dâailleurs avec du sirop de maĂŻs riche en fructose que lâon crĂ©e le bon foie gras des palmipĂšdesâ comme le souligne le professeur Perlemuteur dans son ouvrage âLes pouvoirs cachĂ©s du foieâ aux Ă©ditions Jâai lu
CQFD.
Câest max 4 fruits par jour et 2 portions quand on est en surpoids. Pas plus idĂ©alement.
Pour votre dessert de fĂȘte, on est dâaccord quâune bonne salade de fruits frais sera toujours meilleure que la buche pralinĂ© + truffes.
Câest pas ces soirs lĂ que je vais vous dire de vous arrĂȘter sur une tisane đ
đ«Ł Les alternatives
Si vous avez la pause goûter facile, essayez de trouver des alternatives moins sucrées et plus intéressantes, nutritivement parlant.
des fruits secs,
un fruit (plutĂŽt quâun jus) car vous aurez fibres et satiĂ©tĂ©,
des crackers salés (sans tomber dans le paquet de chips) pour remplacer les biscuits sucrés,
un morceau de pain complet avec un morceau de fromage si câest la grosse fringale.
PrĂȘtez attention aux condiments oĂč il y a du sucre comme le ketchup, certaines moutardes, la sauce bbq et aussi les cornichons aigre-doux, les chutneys.
Zoom sur les alcools
Lâalcool contient beaucoup de sucre Ă©galement. Ceux qui vous prendront le moins en traitre seront les vins avec un faible taux dâalcool. Et le best semble ĂȘtre le cidre. Cider is the new Champagne đ
A titre de comparaison, 1 verre de vin Ă 13% dâalcool contiendra environ 24gr de sucre, un verre de vin blanc moelleux 40gr de sucre par litre, un digestif et autre liqueur câest plus de 40g de sucre pour 10 cl.
Les cocktails sont des bombes glycĂ©miques car ils cumulent alcool, soda, jus, siropâŠLa totale.
Attention au Champagne qui est souvent pris à jeun et donc augmente de maniÚre significative le taux de glycémie.
đ„ž Le sevrage
ArrĂȘter le sucre, qui est considĂ©rĂ© comme une drogue, est donc un travail par Ă©tape oĂč seule la motivation parfois ne suffit pas.
Une diététicienne ou une naturopathe pourront vous aider à limiter les apports de sucre et vous accompagner dans ce sevrage.
Certaines de mes clientes me confient en dĂ©but dâaccompagnement consommer uniquement des sodas et au bout de 3 sĂ©ances, nous avons le plaisir de constater que dâautres boissons toutes aussi funky et moins sucrĂ©es prennent le relais.
La phytothérapie propose des alternatives pour se déshabituer de la saveur. La micronutrition est aussi une alliée sérieuse pour faire baisser les envies de sucre.
Si vous souhaitez ĂȘtre accompagnĂ©e naturellement pour vous dĂ©shabituer du sucre, votre naturo dĂ©vouĂ©e se tient Ă votre disposition.
đ Le Podcast DLN
Les podcasts sont disponibles sur Deezer, Apple, Amazon, Spotify etc. sinon ici đœ
Cette semaine dans vos écouteurs on découvre mon interview de Guillaume Kreutter, pharmacien herboriste qui nous présente ses plantes de la ménopause. Point de vue complémentaire de la DLN #42.
đ± Lâinspi de la semaine
Et si en 2024 on se demandait ce que comble le sucre ?
Combien de fois il assouvit un vrai plaisir sur toutes les fois oĂč lâon en mange. Peut ĂȘtre le temps arrive de trouver son âselâ plutĂŽt que de le compenser par du sucre. đ
â¶ïž La prochaine goodletter DerriĂšre les nuages
On se retrouve le dimanche 10 dĂ©cembre pour une goodletter spĂ©ciale mes recettes naturo spĂ©ciales fĂȘtes de fin dâannĂ©e
Je vous rappelle que tous les conseils donnĂ©s dans cette goodletter DerriĂšre les nuages ne remplacent en rien une consultation chez votre mĂ©decin en cas de douleurs ou symptĂŽmes graves. Dâautre part les conseils donnĂ©s en consultation sont personnalisĂ©s. Ceux donnĂ©s ici ont vocation Ă informer et sensibiliser uniquement. Entourez vous de professionnels formĂ©s pour amĂ©liorer votre santĂ© et votre bien-ĂȘtre.
Pour un peu plus de douceur pour notre planĂšte, effacez cet email. Vous pouvez retrouver toutes les goodletters DLN ici
Je viens d'atterrir sur la plateforme, et suis trĂšs heureuse d'ĂȘtre tombĂ©e sur ta newsletter qui est une mine d'infos ! Merci.